21 septembre – L’UD assignée en justice

L’Union Départementale appelle l’ensemble des travailleur·ses à se mobiliser le 21 septembre à 10h30 devant le tribunal de Blois, pour un rassemblement contre la répression syndicale dont fait l’objet l’UD, trainée devant la justice par un patron qui remet en cause … Continuer la lecture

23 septembre – Marche pour les libertés publiques et syndicales, contre le racisme systémique et les violences policières et pour la justice sociale

L’Union Départementale appelle les travailleur·ses à se mobiliser le 23 septembre à 10h30 place Lorjou à Blois, pour une marche pour les libertés publiques et syndicales, contre le racisme systémique et les violences policières et pour la justice sociale. Voir … Continuer la lecture

L’extrême droite ne sera jamais une solution !

Le 24 juin, l’UD CGT appelait à un rassemblement antifasciste pour dénoncer la présence de l’extrême droite dans le département en marge de la Fête de la Violette orchestrée par G. Peltier.

Pour la CGT dont c’est l’ADN de lutter contre les idées et les pratiques de l’Extrême droite, il y avait urgence à rappeler son imposture sociale. L’Extrême droite ne sera jamais du côté des travailleur·ses alors que le capitalisme s’en accommode très bien. Le bilan des 1ers votes des député·es RN à l’Assemblée nationale, le démontre : iels ont voté contre l’augmentation du SMIC, l’indexation des salaires sur l’inflation, l’encadrement des salaires, le blocage des prix de première nécessité, la gratuité des premiers mètres cube d’eau, la gratuité des cantines et fournitures scolaires pour les plus modestes, la revalorisation des petites retraites, la garantie d’autonomie à 1063 €, le gel des prix des loyers, l’augmentation des hébergements d’urgence, le rétablissement de l’ISF, la taxe sur les superprofits, la taxe sur les revenus supérieurs à 3 millions d’euros, l’augmentation de la TVA sur les produits de luxe, le milliard d’euros à la lutte contre les violences faites aux femmes. Et pour la fin des droits au chômage après abandon de poste, la fin des allocations chômage pour les employé·es refusant un CDI à la fin de leur CDD, la réduction des droits au chômage des étranger·es hors UE, l’interdiction de la présence d’étranger·es au sein des instances représentatives du personnel, la limitation du droit de vote des travailleur·ses précaires aux élections professionnelles, la hausse de la défiscalisation des heures supplémentaires.

La CGT 41 continuera à le dire : le monde du travail ne doit pas accepter les mises en concurrences orchestrées par les puissant·es et le capitalisme entre les salarié·es et les plus précaires, qu’iels soient privé·es d’emplois ou migrant·es. Pour transformer la société et garder l’argent créé par le travail, ce sont les milliards de dividendes qu’il faut récupérer pour renforcer la Sécurité sociale et augmenter les salaires et les pensions.